segunda-feira, 2 de janeiro de 2012
O filme do ano, para mim, foi
indiscutivelmente A Árvore da Vida, de Terrence Malick. E isto apesar de ter um actor que me irrita de sobremaneira, o Sean Penn, com aquele seu ar de esquerdista sofredor... Acho sublime a forma como o filme nos leva a reconhecer esse mesmo sublime no mais banal do nosso quotidiano. Eis um breve excerto do texto escrito por Bernard Aspe para a edição de Dezembro dos Cahiers, no qual aborda essa redescoberta através da luz. Ei-lo:
"... il y a des images où rien d'autre n'est à voir que la lumière et la manière dont elle découpe les êtres, dont elle sculpte l'espace de leur vie, et l'amplitude que peut voir cette vie, ce tissage d'existences. Ensuite seulement vient l'origine, la création du monde, telle que nos mythes modernes en ont forgé ce qu'il faut bien appeler le récit: big bang, apparition des éléments, de la vie, des animaux. Comment arrive cette origine, cette figuration du mythe de nos origines? Par ceci que la grâce s'interrompt; une lettre arrive, qui annonce la nouvelle de la mort d'un enfant aimé. Alors seulement le récit peut commencer.
À l'origine, il y a le récit, mais avant l'origine, il y a la grâce."
E com a bela luz de Lisboa ali a espreitar, regresso ao trabalho.
Bom ano.
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